L'avis de L'Antre du Comics:
Spawn:
Le nouveau Spawn cherche à comprendre qui il est. Il rencontre de nombreuses personnes qui lui donnent des indices, des chemins à suivre ou ne pas suivre. Mais qui le manipule, qui lui dit la vérité? Là réside toute la complexité de la situation pour Jim.
A noter deux grands retours. Le violator sous sa forme monstrueuse et le retour de Greg Capullo au dessin qui fera quelques piges ici et là afin de laisser à Portacio un peu plus de temps pour s'exprimer pleinement sur ses planches.
Spawn - Le livre des morts:
Nous progressons rapidement dans la légende des Spawn puisque nous en sommes déjà à Al Simmons, le vrai, le seul et l'unique à mon goût. Le Hellspawn absolu comme l'a bien compris Malebolgia.
Ces récits illustrés nous permettent de complèter tous les éléments déjà en notre connaissance grâce à la lecture de la série comics. Mais nous découvrons la légende des Spawn sous un autre aspect, peut-être plus poignant par la forme et l'aspect du récit. Le poids des mots sans doute.
Je ne sais pas ce que vous pensez du "livre des morts" mais moi j'aime redécouvrir Spawn sous ces textes riches et gracieux qui racontent une histoire qui ne l'est pas du tout.
Haunt:
Le voilà. Il est là. Le premier épisode de Haunt.
Vous faire un résumé serait peut-être gaché la surprise. Qui est Haunt? Pourquoi est-il ce "monstre"? Quels seront ses missions? Tant de réponses que nous allons découvrir petit à petit.
Esthétiquement, Haunt est en fait un mélange des deux personnes qui ont fait la gloire de Todd Mc farlane: mi-Spawn, mi-Spider-man de part le costume et les origines d'un côté et de part les positions, l'évolution graphique de l'autre.
J'avoue que ce premier épisode m'a fait plongé même si j'ai un peu peur de voir un remake de Spawn. En effet certaines similitudes sur l'origine du perso pourraient le laisser présager. Toujours est-il que jusqu'ici je suis séduit. Il faut dire que la maison d'édition a mis la grosse artillerie sur la série: Kirkman (Walking Dead), Mc Farlane, Capullo et Ottley. Que du beau monde et il faut avouer que le résultat est là.