samedi 21 novembre 2009

Les Chroniques de Spawn #26 (Delcourt Comics)









L'avis de L'Antre du Comics:

Spawn:

Jim aimerait découvrir qui il est. Pourquoi n'a-t-il jamais eu une seule visite à l'hopital tout au long de son coma alors que quelqu'un devait bien payer les factures? Qui est ce mécène inconnu?

En plus de son identité, Jim voudrait également en apprendre plus sur ce pouvoir qui s'empart de lui sans qu'il ne puisse le contrôler.

Petit à petit je me fais à la disparition de Al Simmons. Il faut dire que son successeur est particulièrement intéressant. J'ai l'impression de repartir à zéro et que tout est encore à construire et pourtant des brides de mon Spawn favori apparaissent peu à peu dans la vie du nouvel élu de l'enfer. Ainsi Jim rencontre Wanda ou encore, un clochard amène ce dernier au trône de Spawn...Toutes des petites choses qui me rattachent à mon passé quasi fusionnel avec le plus grand Hellspawn que le monde ait connu.

Je continue donc à faire de Spawn ma série culte en super-héros !!!

Haunt:

Thierry Mornet continue à nous mettre l'eau à la bouche avec quelques planches, les recherches des personnages et autres indiscrétions sur la nouvelle série de todd Mc Farlane.

Le prochain numéro sera le bon avec le début tant attendu de Haunt dans les pages des Chroniques de Spawn.

Spawn: Le livre des morts

Je vous avais déjà dit le plus grand bien du chapitre 1 et bien je réitère mes louanges. J'aime vraiment comment est écrit ce récit. Je le trouve poétique dans sa construction aussi bien au niveau sonore que visuel. Le texte n'est pas placé bêtement ligne après ligne. Les phrases, les mots sont décalés, les espaces, les sauts de ligne sont tout aussi important afin de créer une véritable ambiance comme un dessin pourrait le faire. Ajouter à cela les illustrations Ashley Wood et le texte de Steve Niles, maître des récits d'horreur.

En un mot, le livre des morts est un vrai petit chef d'oeuvre.

Les Chroniques de Spawn est sans aucun doute le meilleur magazine de comics actuellement publié. Chapeau bas messieurs les artistes et messieurs les éditeurs.

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